La maladie de Parkinson est la 2e maladie neurodégénérative la plus fréquente après la maladie d’Alzheimer. Elle touche aujourd’hui près de 270 000 personnes en France, avec un ratio de 2 hommes pour 1 femme après 40 ans. Lenteur des mouvements, rigidité musculaire, tremblements, freezing : autant de symptômes handicapants et invalidants que les traitements permettent aujourd’hui d’atténuer, mais pas de guérir.
Au programme :
- 10h10 : Nouveautés sur la recherche thérapeutique dans la maladie de Parkinson Par le Pr Jean-Christophe Corvol, neurologue (AP-HP/Sorbonne Université), chef du département de neurologie à l’Hôpital Pitié-Salpêtrière, directeur médical et co-chef de l’équipe « Physiopathologie moléculaire de la maladie de Parkinson » à l’Institut du Cerveau
- 10h40 : Le regard, la voix, le sommeil et l’imagerie cérébrale : que nous apprend la cohorte ICEBERG ? Par la Pr Marie Vidailhet, clinicienne (AP-HP/Sorbonne Université) et chercheuse à l’Institut du Cerveau dans l’équipe « Du mouvement à la cognition : études des troubles moteurs »
- 11h10 : Motiv’Park Game : un outil d’éducation thérapeutique pour les patients Par le Pr David Grabli, neurologue (AP-HP/Sorbonne Université) et chercheur au sein de l’équipe « Physiopathologie moléculaire de la maladie de Parkinson » à l’Institut du Cerveau

La maladie de Parkinson
La maladie de Parkinson est la maladie neurodégénérative la plus fréquente après la maladie d’Alzheimer et la première cause de syndrome parkinsonien.
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L’équipe "Physiopathologie moléculaire de la maladie de Parkinson" s’intéresse à la complexité de la maladie de Parkinson et mène des projets de recherche pluridisciplinaire associant l’évaluation clinique, la biologie des neurones et la génétique.
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L'équipe vise à étudier divers aspects du contrôle moteur et cognitif, en particulier la variabilité inter et intra-sujet des troubles du développement et des maladies acquises ainsi que des modèles animaux génétiquement apparentés.
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