Le travail du professeur Fanny Mochel (AP-HP, Sorbonne Université) à l’Institut du Cerveau, en collaboration avec des équipes de recherche clinique réparties dans huit pays et la biotech espagnole Minoryx Therapeutics, a mis en évidence les effets protecteurs de la leriglitazone dans l’évolution de l’adrénoleucodystrophie, une maladie génétique rare dans laquelle on observe une atteinte de la substance blanche du système nerveux central. Les résultats des chercheurs sont décrits dans The Lancet Neurology.
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